L'orc se croit tranquille, mais dans l'ombre quelqu'un lui veut du mal.
Des bruits de pas furtifs dans les
couloirs de la prison.
La porte s'ouvre comme par magie. Un voix venue de nul part résonne :
"- ici, l'esprit de la liberté. Viens, la porte est ouverte, tu peux t'échapper, sauve... sauve-toi...".
Pas de réponse.
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"- hého, tu sors, oui ou merde !
- LA PORTE ! y a courants d'air."
Alors la tête du bouffon apparaît dans l'entrebâillement de la porte.
"- ho ho, débile, je t'offre la liberté.
- ouais, ouais. Pose la, là, à côté, et ferme la porte en sortant." Excédé, le bouffon se rue en hurlant dans la geôle de l'orc. Il brandit un long couteau au dessus de sa tête.
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